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Quel est le nom du tambour traditionnel réunionnais ?

Bernard Picard
Bernard Picard
2025-07-30 14:26:27
Nombre de réponses : 5
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Le rouleur, ou roulèr, est un gros tambour frappé à deux mains, l’exécutant est assis à cheval sur lui. Le rouleur doit probablement son nom à son usage. En effet on roule le maloya, c’est-à-dire qu’on roule les hanches en dansant. En outre l’instrumentaliste fait des roulements et donc fait rouler ses mains sur la peau du tambour. Le rouleur peut aussi tirer son nom de la musique qu’il produit : fait rouler maloya. Les différences d'écriture du nom sont quant à elles le reflet de différentes prononciations suivant les locuteurs considérés ou l’époque : rouleur, houleur, ouleur, oulèr, oulère, roulèr. Cet instrument se retrouve à l'île de La Réunion.
Denise Gomez
Denise Gomez
2025-07-23 23:31:31
Nombre de réponses : 6
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Roulèr, instrument de musique traditionnelle de la Réunion, principal instrument du maloya Le tambour malbar est également un instrument de musique de la Réunion, utilisé principalement à l'occasion des cérémonies tamoules, ainsi que dans la musique traditionnelle de la Réunion, Le morlon est également un instrument de musique de la Réunion, utilisé principalement à l'occasion des cérémonies tamoules, ainsi que dans la musique traditionnelle de la Réunion, Takamba, instrument de musique de la Réunion, un des instruments utilisé par Alain Peters entre autres dans le maloya, musique de la Réunion, Sati Maloya et piker: Présentation: ces deux instruments traditionnels de la Réunion accompagnant principalement les roulèr et kayamb dans le Maloya. Le bobre (ou bob) instrument traditionnel de la Réunion est un arc musical réalisé à partir d'un manche de bois dur et d'une calebasse faisant office de résonateur.
Arthur Hoarau
Arthur Hoarau
2025-07-13 09:27:27
Nombre de réponses : 2
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Le tambour malbar est le plus connu. D'un diamètre de 50 cm environ, il est fait d'une peau de chèvre tendue sur un cercle métallique. On le joue avec une baguette pour les temps et d'une éclisse de bambou pour les contre temps. Le morlon est un gros tambour cylindrique monté de 2 peaux tendues l'une vers l'autre. Tenu en bandoulière, il est frappé à la main d'un côté, à l'aide d'une baguette. Le matalon, plus petit et de forme convexe, est frappé des 2 mains. Le rouler est la basse rythmique du maloya. A l'origine, il s'agissait d'un gros tronc évidé. On utilise désormais un fut de vin ou de rhum sur laquelle on cloue ou tresse une peau de bœuf. Le joueur est assis à califourchon et frappe l'instrument des 2 mains. D'environ 40 cm sur 50, le kayamb est fabriqué à partir d'un cadre de bois sur lequel sont clouées ou tressées de part et d'autre, 2 hampes des fleurs de canne à sucre entre lesquelles circulent des grains de safran marron. Son épaisseur est d'environ 30 mm. Le joueur le tient légèrement oblique, en le balançant en rythme dans le sens de la largeur, le poignet étant souple. Le bobre est un arc musical avec résonateur fait d'un bois dur et souple tendue par une corde végétale ou métallique. Le joueur le tient face à lui, la calebasse à hauteur de l'abdomen, en frappant la corde à l'aide d'un petite baguette munie d'un petit hochet. En éloignant ou en obstruant le résonateur de son abdomen, l'on va obtenir des variations du son. Le piker est un ensemble de 2 ou 3 nœuds de bambou sur lesquels on frappe à l'aide de 2 baguettes. Il peut être joué sur pied ou posé à terre.
Isabelle Peron
Isabelle Peron
2025-07-11 18:40:43
Nombre de réponses : 5
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Le répertoire de cette ethnie est caractérisé par son usage exclusif de différents tambours. Le plus répandu, le tapou, est un tambour sur cadre circulaire doté d’une membrane, tenu à l’épaule par une courroie et frappé avec deux baguettes. Aux côtés de ces ensembles de tapou, on trouve parfois le morlon, tambour cylindrique à deux membranes, frappé par un bâton dans la main droite et à main nue sur sa face gauche. Ainsi que le sati, tambour sur cuvette qui donne une couleur musicale particulière à l’accompagnement des cérémonies consistant à marcher dans le feu.
Émile Vallet
Émile Vallet
2025-07-03 06:24:31
Nombre de réponses : 7
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Le rouleur, ou roulèr, est un gros tambour frappé à deux mains, l’exécutant est assis à cheval sur lui. Le rouleur doit probablement son nom à son usage. En effet on roule le maloya, c’est-à-dire qu’on roule les hanches en dansant. Le rouleur peut aussi tirer son nom de la musique qu’il produit : fait rouler maloya. Cet instrument se retrouve à l’île de La Réunion et à Rodrigues où on le nomme simplement tambour. À Maurice on utilise le ravanne, et aux Seychelles on utilise le moutia en peau de raie ou de requin.
Théodore Lemaitre
Théodore Lemaitre
2025-06-22 04:27:27
Nombre de réponses : 6
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Les instruments généralement utilisés dans le maloya traditionnel sont essentiellement des instruments à percussions : bob et cascavel, kayamb, roulèr, piker, sonbrer et parfois triangle. Le roulèr est un tambour basse. Le kayamb est un hochet en radeau. Le maloya et le séga ont en réalité des racines communes, un même rythme saccadé, à deux temps, rythme marqué par le kayamb et le roulèr, deux instruments à percussions traditionnels.
Gilles Schneider
Gilles Schneider
2025-06-14 07:35:59
Nombre de réponses : 7
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Le roulèr est un gros tambour sur lequel le musicien est assis à cheval. Frappé avec les deux mains, le roulèr produit un son grave. Le tambour malbar est un instrument de percussion utilisé lors des cérémonies hindoues. Là encore, c’est une peau de chèvre qui est utilisée. Le son est produit en frappant la peau, préalablement chauffée, avec deux baguettes. Le djembé est un instrument de percussion d’origine africaine, de la famille des tambours. Le son est produit en frappant la peau (de chèvre) avec les deux mains.